terça-feira, 5 de março de 2013

[118555571] lettre 377 - APRÈS LE SCANDALE DES LES CLOCHES DE NOTRE-DAME, UN NOUVEAU SCANDALE AUTOUR DE LA CHAPELLE DE SAINT-GERMAIN-EN-LAYE DANS LE DIOCÈSE DE VERSAILLES ?

La Lettre de Paix liturgique
 
 

Sommaire de notre lettre 377 du 5 Mars 2013
 
 
APRÈS LE SCANDALE DES LES CLOCHES DE NOTRE-DAME, UN NOUVEAU SCANDALE AUTOUR DE LA CHAPELLE DE SAINT-GERMAIN-EN-LAYE DANS LE DIOCÈSE DE VERSAILLES ?

MERCI, SAINT-PÈRE !

Ain (01) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Balan

Corse (20) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Ajaccio

Eure (27) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire aux Baux de Breteuil

Indre-et-Loire (37) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à l'Ile Bouchard

Isère (38) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Vienne

Jura (39) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Dole

Rhône (69) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Saint-Jean la Bussière (en Beaujolais)

Saône-et-Loire (71) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Varennes-lès-Mâcon

Essonne (91) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Saulx-les-Chartreux
 
Pour nous contacter, cliquez ici
 

 
 
APRÈS LE SCANDALE DES LES CLOCHES DE NOTRE-DAME, UN NOUVEAU SCANDALE AUTOUR DE LA CHAPELLE DE SAINT-GERMAIN-EN-LAYE DANS LE DIOCÈSE DE VERSAILLES ?
 



Dans le cadre des projets de restructuration du centre hospitalier intercommunal de Poissy et Saint-Germain-en-Laye, et du probable regroupement des services de cet hôpital sur un nouveau site à Chambourcy, le devenir des bâtiments de l’hôpital de Saint-Germain alimente bien des controverses. Quel rapport avec l’application du Motu Proprio Summorum Pontificum qui est l’objet principal de nos lettres, nous direz-vous ? Tout simplement le sort réservé à la chapelle de l’hôpital, toujours ouverte au culte (messe le samedi à 15h30). Mais cette chapelle n'est pas " seulement " une chapelle, c’est une belle église de 250 places ! Or, Saint-Germain-en-Laye est le cadre d’une des plus anciennes et des plus sérieuses demandes d’application du Motu Proprio Summorum Pontificum dans le diocèse de Versailles, insatisfaite jusqu’ici. Le curé de la paroisse et l’évêque de Versailles ayant fait front commun pour estimer que les conditions n’étaient pas réunies pour que la demande de forme extraordinaire du rite romain soit exaucée. Spécialement, en prétextant l’absence d’un lieu de culte disponible pour accueillir cette demande de célébration. Eh bien, voici un lieu tout naturellement désigné : la chapelle de l’hôpital !

Mais, l’expérience voisine de la chapelle de l’hôpital Richaud à Versailles comme celle de la chapelle de l’hôpital Laennec à Paris (sans parler de l’affaire des cloches de Notre-Dame) incitent au pessimisme… et à l’action.

À l’hôpital Richaud (Versailles), abandonné pendant 25 ans, une association de défense du patrimoine a tenté d’obtenir en vain que la chapelle soit restituée au culte lors de la cession des bâtiments à un entrepreneur immobilier. Le diocèse, en particulier, a estimé avoir des problèmes plus pressants que de restituer au culte un édifice chargé d’histoire pour des générations de Versaillais. Il est vrai que cette chapelle se trouve sur le territoire de la paroisse Notre-Dame où s’est constitué un important groupe stable de fidèles désireux de bénéficier de la forme extraordinaire du rite romain : sait-on jamais, quelque fidèle aurait pu avoir l’idée de restituer le lieu à la liturgie traditionnelle...

À l'hôpital Laennec (Diocèse de Paris), le groupe Allianz, pilote d’une opération de spéculation immobilière indécente, a admis l’an dernier avoir laissé détruire “ par erreur ” la sacristie de la chapelle après avoir fait recouvrir d’une chape de béton les tombes du cardinal de La Rochefoucauld et de Turgot. Le silence de l’archevêché a été abyssal. Il est vrai que c’est dans cette chapelle que se dessina la résistance héroïque de Mgr Ducaud-Bourget à l'obligation de célébrer seulement selon la liturgie de Paul VI et à l’injuste injonction du cardinal Marty qui voulait lui interdire la célébration de la messe de saint Pie V, celle-là même dont le pape a rappelé en 2007 qu’elle n’avait jamais été abrogée.

Quant aux cloches de Notre-Dame, dont le sort n’est pas encore réglé, il est là encore évident que les autorités diocésaines préfèrent leur destruction à leur usage au sein d’une communauté liée à la messe traditionnelle (voir notre lettre 367).



I – À SAINT-GERMAIN : UNE LÉGITIME INQUIÉTUDE


Construite vers 1883 par un legs spécifique de bienfaiteurs de l’hôpital, la chapelle Saint-Louis appartient à la commune de Saint-Germain-en-Laye. Classée monument historique en 1997, elle devrait en principe être préservée en cas de projet immobilier. Sauf que les exemples de Richaud et de Laennec, et de bien d’autres hôpitaux du pays, incitent à la vigilance : le classement d’un édifice ne signifie pas qu’il soit à l’abri de sa destruction ou de sa dénaturation.

En septembre 2012, nous avons été alertés de ce que l’actuel maire de la ville, anticipant la restructuration de l’hôpital et donc l’abandon de la chapelle dudit hôpital, avait proposé au curé de la paroisse, le Père Jean-Marc Bot, et à l’évêque de Versailles, Mgr Éric Aumonier, de confier la chapelle au diocèse pour un euro symbolique, à charge pour celui-ci de l’entretenir. Se retranchant derrière le manque de moyens financiers pour son entretien, les ecclésiastiques ont refusé cette offre sans même se concerter avec les fidèles qui auraient pu, par exemple, pourvoir à cet entretien en montant une association ad hoc.

Dans le journal de Saint-Germain-en-Laye du 21 septembre 2013, l’opposition municipale a d’ailleurs posé publiquement la question du devenir de la chapelle. Interrogé par un paroissien sur une possible démolition de la chapelle, le Père Bot a répondu qu’il n’avait pas “ la religion des bâtiments ”…

N’est-il pas cependant évident que la nouvelle évangélisation, prônée depuis le Bienheureux Jean-Paul II, passe avant tout par le maintien du culte et la multiplication des messes, principales occasions de rencontrer Dieu dans notre société sécularisée, et que cette offre liturgique doit être présente au cœur des villes ? Nous suivrons donc avec attention le sort réservé à la chapelle de l’hôpital de Saint-Germain dans les semaines et les mois qui viennent.






II – PETITE CHRONOLOGIE DU REFUS D'APPLICATION DE SUMMORUM PONTIFICUM À SAINT-GERMAIN-EN-LAYE


– Septembre 2007 : un groupe représentant près de 300 fidèles de la paroisse Saint-Germain se constitue pour solliciter la mise en œuvre du Motu Proprio par leur curé.

– Le 27 septembre 2007, celui-ci, le Père Jean-Marc Bot, réserve tout d'abord un bon accueil apparent à la demande.

– Le 9 octobre 2007, le curé explique que : « la demande est mal perçue et accueillie froidement par le conseil paroissial, notamment en raison des événements de Port-Marly de 1986/1987 encore présents dans la mémoire des personnes ». Nous sommes pourtant vingt ans après, il ne s'agit pas des mêmes personnes, et il ne s'agit pas non plus de la même commune : l'amalgame devient difficile à faire accepter !

– 30 novembre 2007 : une rencontre entre les demandeurs (40 familles représentées), le curé et des membres du conseil paroissial, permet d’apaiser la situation.

– Mi-février 2008, le Père Bot annonce de but en blanc, à la fin des messes dominicales, « qu’il n’y aura pas de messe selon la forme extraordinaire du rite romain car les prêtres de la paroisse sont trop chargés et ne désirent pas dire cette messe ».

– 17 mai 2008 : pour sortir de l’impasse, avec l’accord du curé, les demandeurs rencontrent l’évêque, Monseigneur Éric Aumonier, qui les invite à revenir vers leur curé, le cadre d’application du Motu Proprio étant paroissial...

– Le 12 octobre 2008, le Père Bot réitère aux demandeurs sa fin de non recevoir. Les demandeurs indiquant qu’il est possible de faire appel à un prêtre extérieur à la paroisse pour satisfaire la demande, le curé précise : « Aucun des six lieux envisagés à Saint-Germain n’est disponible. »

– Les fidèles persistant dans leur démarche, le 16 novembre 2008, le Père Bot leur répond qu’ils peuvent trouver satisfaction à leur demande « dans les environs de Saint-Germain ». Enjoints par l’évêque de trouver une solution paroissiale, les demandeurs sont donc invités par leur curé à aller trouver satisfaction en dehors de la paroisse.

– Les demandeurs ayant saisi la Commission Ecclesia Dei, le 2 février 2009, le Père Bot résume ainsi sa position par courrier :

1. Aucun prêtre n’est obligé de célébrer selon le rite extraordinaire ;

2. Aucun prêtre de Saint-Germain n’est disposé à le faire de lui-même ;

3. Les prêtres de Saint-Germain ne souhaitent pas faire appel à un prêtre extérieur, ni supprimer une messe existante ;

4. Notre évêque ne propose rien et ne nomme personne pour ce service.

Il est donc inutile de continuer à écrire des lettres : la réponse sera toujours la même !

– En avril 2009, les demandeurs initient dans la paroisse une enquête d’opinion qui emporte l’adhésion de nouvelles familles : plus de 100 familles soutiennent désormais la demande.

– 6 avril 2009 : dans un courriel pacificateur, le curé précise que c’est « désormais Mgr Aumônier, et non le conseil pastoral de la paroisse » qui est l’interlocuteur des demandeurs. Bref, après avoir, à juste titre, défendu la dimension paroissiale de Summorum Pontificum, Mgr Aumonier en refait une affaire épiscopale.

– Depuis 2011, les demandeurs continuent à implorer la charité et la bienveillance de leur évêque et de leur curé en espérant que leur soient concédées, comme le demande la femme de Tyr à Jésus, " au moins quelques miettes ".



III – LES RÉFLEXIONS DE PAIX LITURGIQUE


1)
On nous accusera de crier avant d’avoir mal, comme des enfants. Nous sommes seulement pragmatiques : neuf fois sur dix, l’Église de France préfère vendre ou abandonner un bâtiment cultuel ou ecclésiastique plutôt que de le voir repris par un institut Ecclesia Dei ou une association de fidèles liées à la liturgie traditionnelle. Dans le cas présent, nous n’espérons qu’une seule chose : être contredits par la décision favorable à la messe traditionnelle des autorités ecclésiastiques. Au fond, le meilleur moyen pour elles de montrer que les demandeurs de la forme extraordinaire les jugent mal, serait de profiter de cette magnifique occasion et de revenir sur leur abandon à son triste sort de cette chapelle de l’hôpital.


2) Outre le caractère indéfendable d’abandonner un lieu de culte en plein centre-ville, en un temps où les papes qui se succèdent sur le trône de Pierre souhaitent engager l’Église dans une ré-évangélisation et donc dans la reconquête spirituelle des vieilles nations chrétiennes, nous nous faisons un devoir de faire le lien entre cette décision d’abandon d’une chapelle et l’existence à Saint-Germain-en-Laye de l’une des demandes les plus fortes et structurées d’application de Summorum Pontificum, qui rassemble plus de 400 personnes maintenant. Le Père Bot n’argue-t-il pas le 12 octobre 2008 qu’il n’y a pas de lieu disponible ? Aujourd’hui, en tout cas, il y en a un : la chapelle de l’hôpital. Tout comme, rappelons-le, la chapelle de l’hôpital Richaud aurait pu être une solution acceptable pour répondre à l’énorme demande des paroissiens de Notre-Dame de Versailles sur le territoire de laquelle se trouvait la chapelle de cette hôpital.


3) À Wisques, près de Saint-Omer, l’abbaye Saint-Paul, fille de Solesmes, vient de confier sa survie aux moines de Fontgombault (autre abbaye née de Solesmes) qui ont accepté " de relever le défi " à condition d’y apporter les usages de leur abbaye, revenue à la liturgie traditionnelle lors de l’indult de 1984. Cet exemple de pragmatisme et d’œcuménisme intra-ecclésial est indéniablement à louer et à saluer : généralement, on préfère la mort à la traditionalisation. À Wisques, parce qu'on privilégie le salut des âmes, on préfère la vie, quand bien même fût-elle traditionnelle. Préférer la vie de l’Église dans toute sa richesse et sa diversité à la sécularisation et à l'enfouissement : prions pour qu'il en aille ainsi aussi dans le diocèse de Versailles.


 




NOS REGLES D'ANNONCE DES CELEBRATIONS EXTRAORDINAIRES
Nous vous indiquons ci-dessous les célébrations selon la forme extraordinaire mises en place dernièrement dans nos diocèses, les groupes de demandeurs qui se créent ou qui développent leur action, ainsi que les messes qui ont lieu dimanche prochain, mais n'ont pas lieu tous les dimanches. Pour les célébrations hebdomadaires dans toute la France, vous pouvez consulter le site http://www.paixliturgique.com.
 

MERCI, SAINT-PÈRE !
 
Nous reproduisons ici le texte d'une lettre de remerciement à Benoît XVI. Nous vous invitons à la signer sur le site CUM PAPA NOSTRO (du pèlerinage Summorum Pontificum), qui l'a lancée.

Très Saint-Père,

nous nous adressons filialement à Votre Sainteté pour lui exprimer tout spécialement notre profonde gratitude pour ses enseignements et son exemple dans un domaine que son magistère a fait ressortir comme élément central de la vie de l’Église : la liturgie.

Merci, Votre Sainteté, de nous avoir enseigné que « la liturgie n’est pas une sorte d’ “auto-manifestation” d’une communauté, mais qu’elle est en revanche une manière de sortir du simple “être-soi-même”, être enfermés en soi-même », insistant sur le fait que « la liturgie implique universalité et que ce caractère universel doit entrer toujours à nouveau dans la conscience de tous ».

Pareillement, Votre Sainteté a affirmé que « chaque jour doit croître en nous la conviction que la liturgie n’est pas notre “action”, mon “action”, mais l’action de Dieu en nous et avec nous ». Et comme « ce n’est pas l’individu — prêtre ou fidèle — ou le groupe qui célèbre la liturgie, mais qu’elle est avant tout action de Dieu à travers l’Église », Votre Sainteté nous a rappelé que « cette universalité et ouverture fondamentale, qui est propre à toute la liturgie, est l’une des raisons pour laquelle elle ne peut pas être conçue ou modifiée par une communauté singulière ou par des experts, mais elle doit être fidèle aux formes de l’Église universelle… elle est par sa nature catholique, elle provient du tout et conduit au tout, en unité avec le Pape, avec les évêques, avec les croyants de toutes les époques et de tous les lieux ».

Votre Sainteté nous a encouragés aussi à demander au Seigneur « de nous enseigner chaque jour à vivre la sainte liturgie, en particulier la célébration eucharistique, en priant dans le “nous” de l’Église, qui porte son regard non pas sur elle-même, mais sur Dieu et en sentant que nous sommes une partie de l’Église vivante de tous les lieux et de tous les temps ».

Ces principes fondamentaux, éloquemment synthétisés lors de vos récentes catéchèses des mercredis ont connu une application concrète dans la promulgation du Motu Proprio Summorum Pontificum. La législation qu’il contient a eu pour principale conséquence précisément de nous avoir fait sentir « partie de l’Église vivante de tous les lieux et de tous les temps ».

Merci, parce qu’en déclarant que la liturgie romaine antérieure à la réforme de 1970 « n’a jamais été juridiquement abrogé, et que par conséquent, en principe, il est toujours resté autorisé », Votre Sainteté a mis en évidence la cohérence que souhaite avoir l’Église avec son propre passé, affirmant ainsi que « ce qui était sacré pour les générations précédentes reste grand et sacré pour nous, et ne peut à l’improviste se retrouver totalement interdit, voire considéré comme néfaste ». Et que de ce fait « il est bon pour nous tous de conserver les richesses qui ont grandi dans la foi et dans la prière de l’Église, et de leur donner leur juste place ».

En n’établissant pour la célébration de cette Messe d’autres conditions que les normalement requises pour toute célébration publique de la Messe, elle nous a permis l’accès à cet héritage qui, quoiqu’en droit était un patrimoine spirituel de tous les fidèles, de fait était inconnu pour la plupart. Ainsi s’est établie une situation juridique solide et bien définie qui désormais ne dépend pas des courants d’opinion.

Ces sages dispositions nous ont ainsi permis de découvrir l’héritage qui nous appartient. Elles nous ont fait nous rappeler que la « grande famille » qu’est l’Église n’est pas une famille seulement composée de « frères » mais qu’elle a aussi des pères et des ancêtres.

Pour tout cela, nous qui formons partie d’un grand secteur de fidèles qui n’entre pas dans les statistiques parce qu’il ne représente pas un « problème » qui nécessiterait une solution, mais qui nous sommes enrichis spirituellement par vos enseignements, exemples et législation pour la liturgie de l’Église, nous souhaitons chaleureusement exprimer à Votre Sainteté notre filiale gratitude.

La solidité des principes universels sur lesquels elle s’appuie, si clairement explicitée par Votre Sainteté, enracine ces enseignements dans la pérennité.

Merci, Très Saint-Père, de nous avoir appris les « principes non négociables » du culte divin en « notre époque d'éclipse du sens du sacré ».
 
Contact:
contact@paix-liturgique.org

Ain (01) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Balan
 
La messe dans la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée le dimanche 10 mars à 11h à l'église Saint-Jean-Baptiste de Balan, à 25 km au nord-est de Lyon.

Unissons-nous nombreux par notre présence ou nos prières à cette célébration.
 
Contact:
04 78 06 11 60

Corse (20) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Ajaccio
 
La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée dimanche 10 mars à 11h à l'église Saint-Erasme, rue Forcioli Conti à Ajaccio.

Unissons-nous nombreux par notre présence ou nos prières à cette célébration.
 
Contact:
missa.2a@orange.fr
06 60 13 84 41

Eure (27) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire aux Baux de Breteuil
 
La messe dans la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée le dimanche 10 mars à 10h30 à la Maisons Notre-Dame des Familles, aux Baux de Breteuil (au S-O de Conches, au N-O de Verneuil), 7 rue de la Mare aux Loups, 27160.

Unissons-nous nombreux par notre présence ou nos prières à cette célébration.
 
Contact:
06 20 45 15 77

Indre-et-Loire (37) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à l'Ile Bouchard
 
La messe dans la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée le dimanche 10 mars à 9h30 à l'église Saint-Maurice de l'Ile Bouchard.

Unissons-nous nombreux par notre présence ou nos prières à cette célébration !
 
Contact:
02 47 58 51 03
Secrétariat paroissial

Isère (38) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Vienne
 
Une messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée le dimanche 10 mars à 18h en l'église Notre-Dame de l'Isle à Vienne.

Unissons-nous par notre présence ou nos prières à cette célébration.
 
Contact:
04 76 44 03 55

Jura (39) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Dole
 
La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée le dimanche 10 mars à 10h dans l'église du quartier d'Azans à Dole.

Unissons-nous y nombreux par notre présence ou nos prières et prions pour que cette célébration mensuelle devienne régulière !
 
Contact:
fsspdole@free.fr
03 84 72 56 26
M. Pascal Mermoz
http://fsspdole.free.fr/

Rhône (69) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Saint-Jean la Bussière (en Beaujolais)
 
La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée dimanche 10 mars à 10h45 à l'église paroissiale de Saint-Jean-la Bussière (69550).

Unissons-nous nombreux à cette célébration !

 
Contact:
06 60 72 87 19 et 04 74 89 28 53
http://messe-extraordinaire-amplepuis-thizy.over-blog.com/

Saône-et-Loire (71) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Varennes-lès-Mâcon
 
La Messe sera célébrée dans la forme extraordinaire du rite romain, le dimanche 10 mars, à 10h30, dans l'église paroissiale Saint-Marcel de Varennes-lès-Mâcon (à 7 km au sud de Mâcon).

Merci de vous unir par votre présence ou vos prières à cette célébration.
 
Contact:
03 85 37 71 26

Essonne (91) - Le 10 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Saulx-les-Chartreux
 
La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée dimanche 10 mars à 10h30, à l'église de l'Assomption de la Très Sainte Vierge, rue de l'Eglis,e à Saulx-les-Chartreux (91).

Unissons-nous nombreux par notre présence ou nos prières à cette célébration.
 
Contact:
01 64 78 94 01
Presbytère
 


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Postcommunio Súmpsimus. Dómine, sacridona mystérii, humíliter deprécantes, ut, quae in tui commemoratiónem nos fácere praecepísti, in nostrae profíciant infirmitátis auxílium: Qui vivis.

"RECUAR DIANTE DO INIMIGO, OU CALAR-SE QUANDO DE TODA PARTE SE ERGUE TANTO ALARIDO CONTRA A VERDADE, É PRÓPRIO DE HOMEM COVARDE OU DE QUEM VACILA NO FUNDAMENTO DE SUA CRENÇA. QUALQUER DESTAS COISAS É VERGONHOSA EM SI; É INJURIOSA A DEUS; É INCOMPATÍVEL COM A SALVAÇÃO TANTO DOS INDIVÍDUOS, COMO DA SOCIEDADE, E SÓ É VANTAJOSA AOS INIMIGOS DA FÉ, PORQUE NADA ESTIMULA TANTO A AUDÁCIA DOS MAUS, COMO A PUSILANIMIDADE DOS BONS" –
[PAPA LEÃO XIII , ENCÍCLICA SAPIENTIAE CHRISTIANAE , DE 10 DE JANEIRO DE 1890]