Banner

Jesus Início

Início


Visitas



addthis

Addrhis

Canal de Videos



    •  


    • http://deiustitia-etfides.blogspot.com.br/


    • -


    Rio de Janeiro

    Santa Sé






    terça-feira, 26 de fevereiro de 2013

    [118203360] lettre 376 - VERS UN NOUVEAU PONTIFICAT : LA RÉALITÉ INCONTOURNABLE DE LA LITURGIE TRADITIONNELLE

    La Lettre de Paix liturgique
     
     

    Sommaire de notre lettre 376 du 26 Février 2013
     
     
    VERS UN NOUVEAU PONTIFICAT : LA RÉALITÉ INCONTOURNABLE DE LA LITURGIE TRADITIONNELLE

    Jeudi 7 mars, Le "Rendez-vous de Paix Liturgique" sur les ondes Radio Courtoisie !

    Allier (03) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Moulins

    Calvados (14) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Lisieux

    Côte-d'Or (21) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Beaune

    Manche (50) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Saint-Lô

    Meuse (55) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Verdun

    Rhône (69) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Thizy (en Beaujolais)

    Saône-et-Loire (71) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Chalons-sur-Saône

    Yonne (89) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Brannay
     
    Pour nous contacter, cliquez ici
     

     
     
    VERS UN NOUVEAU PONTIFICAT : LA RÉALITÉ INCONTOURNABLE DE LA LITURGIE TRADITIONNELLE
     



    Dans les jours qui viennent vont se tenir les congrégations cardinalices qui préparent le conclave. Les cardinaux vont notamment y dresser un bilan de l’état de l’Église. Déjà, en 2005, au moment de l'élection de Joseph Ratzinger, avait pesé la situation préoccupante de l'Église, en particulier en Europe. Le futur Benoît XVI était allé jusqu'à évoquer « une barque qui prend l’eau de toutes parts » lors des méditations du chemin de croix au Colisée. Que dire aujourd'hui alors que tous les indicateurs sont au rouge : effectifs (fidèles, prêtres et religieux), finances, doctrine, laïcisme triomphant ?

    Huit ans après, c'est encore de Ratzinger que vient le jugement le plus autorisé et instructif : « Dans le champ du Seigneur il y a encore et toujours de l'ivraie » disait-il le 11 octobre 2012 pour les 50 ans de l'ouverture de Vatican II ; avant, lors de sa dernière messe, le mercredi des Cendres, de parler du visage « parfois défiguré » de l'Église, en particulier par les « divisions dans le corps ecclésial ». Benoît XVI ne se contente pas d'évoquer les statistiques mais nous invite – ainsi que, bien entendu, les cardinaux qui s'apprêtent à élire son successeur – à contempler la réalité de l'Église « sainte et composée de pécheurs » (homélie de l'Épiphanie 2008).

    Il est évident que le futur pape devra oser affronter l’amenuisement continu de la foi, l’effondrement de la mission, le schisme latent de nombreux théologiens qui ne sont plus catholiques, les divisions et la réalité du péché dans l'Église. Pour ce faire, il devra aussi s'appuyer sur ce qui ‘‘ fonctionne ’’ dans l’Église d’aujourd’hui : les communautés nouvelles, l'essor de l'Église en Asie, l'identité sereinement revendiquée des jeunes prêtres... et la liturgie traditionnelle.

    Une partie non négligeable des cardinaux, qui aura son rôle dans les scrutins du conclave pour consolider une majorité ou bloquer une élection, fera valoir que le résultat le plus concret du pontificat qui s’achève est d’avoir esquissé une réconciliation liturgique et mis fin, du moins en théorie, à la fracture née de l'imposition unilatérale et brutale du missel de Paul VI. De nombreux cardinaux savent que les catholiques, attachés (exclusivement ou pas d'ailleurs) à la liturgie traditionnelle représentent désormais une sensibilité notable dans le paysage ecclésial, en Europe mais aussi aux Amériques. Ils savent ainsi qu'en France, près d'un séminariste sur cinq aspire à la forme extraordinaire et que de nombreux autres envisagent de pouvoir célébrer l'une ou l'autre forme du rite romain. Ils connaissent la ‘‘ fécondité ’’ vocationnelle des familles de tradition, le dynamisme de leurs écoles – quand l'enseignement diocésain est souvent en crise –, le zèle pastoral des prêtres traditionnels et la vitalité des œuvres de jeunesse qu'ils animent, etc.

    Par son Motu Proprio Summorum Pontificum, Benoît XVI a consacré l’existence vivante, croissante, agissante du monde ‘‘ extraordinaire ’’. Et de nombreux cardinaux, même s'ils n'ont pas forcément de sensibilité traditionnelle affirmée, ont conscience de ce phénomène. Aussi vont-ils faire valoir devant leurs confrères l’aspiration qu’a parfaitement exprimée le cardinal Cañizares, Préfet de la Congrégation du Culte divin, le 3 novembre 2012, lors de la messe du pèlerinage Summorum Pontificum à Saint-Pierre de Rome : à savoir qu’il convient que cette manière de célébrer selon le missel de Jean XXIII soit désormais vraiment et totalement considérée comme « normale », y compris pour guérir la liturgie conciliaire des abus qui la caractérisent.

    Le fait que tous, partout, puissent pacifiquement participer à des cérémonies selon l’usus antiquior, ne peut que contribuer largement, harmonieusement, à la prière commune du peuple chrétien et à « l’enrichissement réciproque » de l’ancienne forme du rite et de la nouvelle en « notre époque d'éclipse du sens du sacré », selon les termes de Benoît XVI lors de l'audience du 13 février, au surlendemain de sa renonciation au Siège de Pierre.



    UN LIVRE DE L'ABBÉ AULAGNIER


    Cette réflexion préliminaire rejoint parfaitement le propos de l'excellent petit livre écrit l'été dernier par l’abbé Paul Aulagnier : La réforme liturgique de Benoît XVI, État des lieux (Éditions Godefroy de Bouillon, 124 p., 12€). L'auteur y décrit de manière extrêmement pédagogique ce qui restera en effet la marque essentielle du pontificat de Benoît XVI : la tentative de restauration liturgique, au moyen de l’invitation, de l’exemple, de la sollicitation à aller dans un sens de resacralisation d’un culte qui s’était « mondanisé ».

    L’abbé Aulagnier établit ainsi la nouveauté de la législation de Summorum Pontificum, qui a retourné l’interdiction de fait qui s’était abattue sur la messe traditionnelle, et qui a fait long feu en raison de ce que l’auteur appelle « la mâle réaction des catholiques » depuis la réforme de Paul VI, et dont il rappelle, une à une, les étapes. Jusqu’à ce que le Missel tridentin, sous le nom de « forme extraordinaire du rite romain », soit déclaré en 2007, par Benoît XVI, n’avoir été « jamais abrogé ». « C’est un droit, écrit l'abbé Aulagnier, purement et simplement affirmé en faveur de la messe tridentine. Ce n’est plus une “ concession ”. Ce n’est plus un “ privilège ”. C’est un droit. […] Ce droit vaut pour tout prêtre diocésain, pour tout prêtre religieux, pour tous les Instituts de vie consacrée et les Sociétés de vie apostolique de droit pontifical. »

    S’appuyant spécialement sur les écrits de Mgr Klaus Gamber, confrère aux facultés catholiques de Ratisbonne du professeur Joseph Ratzinger, l’abbé Aulagnier insiste sur le fait que les « deux rites » (lapsus ?) doivent rester bien distincts ou, plus précisément, que la forme extraordinaire ne doit pas être abâtardie, si l’on veut qu’elle « enrichisse » véritablement la forme ordinaire, laquelle pourrait s’enrichir de préfaces ad libitum, et de célébrations de nouveaux saints sous forme de commémorations.

    Outre les rappels, dates, précisions qu’a rassemblés l’abbé Aulagnier de manière très synthétique, la visée de son ouvrage peut se résumer ainsi :

    – la messe traditionnelle fait désormais à nouveau intégralement partie du paysage liturgique et cela ira croissant ;

    – la messe nouvelle doit être « améliorée » (Mgr Gamber), si elle veut perdurer.

    L'auteur rapporte – c’est un autre avantage de son ouvrage – les critiques théologiques de fond qui ont été faites depuis le premier jour à l’encontre de la réforme. Sur le plan liturgique, estime-t-il, « deux mondes s’affrontent ». Cette confrontation est désormais pacifique, grâce à Benoît XVI, mais elle demeure bel et bien. Il cite l’abbé Barthe : « Tout a contribué à faire (bien gauchement d’ailleurs) du culte divin une sorte de théâtralité accordée à la modernité, et donc à faire que la dramaturgie liturgique cesse largement d’être une réprobation de ce monde. […] On a ainsi concédé à la société moderne une atténuation de ce qu’il n’est plus en mesure d’entendre : la valeur de la messe comme Sacrifice offert pour les péchés. »

    Ottaviani, Gamber, Dulac, Madiran, et bien d’autres : l’abbé Paul Aulagnier fait défiler la procession de « la mâle réaction », comme il la qualifie à deux reprises. Et puis vint Joseph Ratzinger le pacificateur. Sur lequel renchérit Mgr Athanasius Schneider. L’ouvrage s’achève en effet par le commentaire des propositions de Mgr Schneider (voir notre lettre 249 et suivantes), et spécialement de celle qui entend réintroduire dans le novus ordo les prières sacrificielles de l’offertoire traditionnel, que l’on retrouve sous des formes équivalentes dans tous les rites orientaux, en lieu et place de l’indigente « présentation des dons ». Ce serait le principal enrichissement que la forme traditionnelle devenue « archétype », selon l'abbé Aulagnier, pourrait apporter à la forme nouvelle en la transformant ainsi de l’intérieur.

    Et l'abbé Aulagnier de résumer : « Voilà ! Tout est dit et bien dit. Voilà l’état des lieux de la vie liturgique dans l’Église. Il me semble fidèle à la réalité. Il constate le travail fait : il est admirable. C’est le droit de la messe tridentine aujourd’hui reconnu par Benoît XVI. C’est la reconnaissance du bien de cette messe tridentine comme étant l’archétype de toute réforme liturgique. Qui l’aurait affirmé hier ? Il contemple le travail à faire. La réforme de la réforme de Paul VI. La tâche est immense et difficile. Elle demande la collaboration de tous, in sinu Ecclesiae. »



    LE PEUPLE SUMMORUM PONTIFICUM TOUJOURS PLUS PRÉSENT


    La messe traditionnelle fait désormais partie du paysage ecclésial. Nous voudrions à ce propos signaler un article de Christophe Saint-Placide, du 22 février 2013, dans le blog de Riposte catholique, Summorum Pontificum. Saint-Placide, se désolant de l’échec de la reconnaissance de la Fraternité Saint-Pie X qui aurait pu être la conclusion du règne de Benoît XVI, achève par une considération sur l’avenir de ce que nous appelons pour notre part le peuple Summorum Pontificum, considération avec laquelle nous sommes parfaitement en consonance :

    « La Commission Ecclesia Dei a fini par jeter l’éponge : “ Nous n’attendons pas de réponse ; le futur pape verra ce qu’il veut faire ”. Quand il en aura le loisir. Et s’il en a l’envie. Au lieu donc que le pontificat de Benoît XVI, le pontificat du Motu Proprio Summorum Pontificum, s’achève par un acte qui l’aurait qualifié pour toujours : l’érection de la Prélature Saint-Pie X, on a donc une énième remise aux calendes. […] Sauf que la tradition fera en sorte d’être toujours plus présente par toute la force morale que lui donne désormais le droit de cité rendu à la liturgie tridentine. Dieu, qui tire toujours du mal (ou du non-bien) un plus grand bien oblige ainsi l’ensemble des prêtres des paroisses ou des communautés, des fidèles du rang, des séminaristes, des religieux attachés à divers degrés à ce critère loi de la prière/loi de la foi de l’usus antiquior, et à tout ce qu’il entraîne avec lui, catéchisme, vocations, mission, éducation chrétienne, à participer de toutes leurs forces à la préparation de l’avenir de l’Église cum Petro. »

    Nous ne sommes pas devins et nous ignorons ce que seront les actes du prochain pontificat en matière liturgique. Mais logiquement, pour correspondre pastoralement à la vigueur catholique que représente la messe traditionnelle et donner tout l’espace nécessaire à tous ceux qui y sont attachés, un élargissement, c'est-à-dire une normalisation plus grande de la célébration publique de cette messe devrait intervenir. Afin qu’il n’y ait, pour la célébration paroissiale de cette Messe, d’autres conditions que celles normalement requises pour toute célébration publique de la Messe, dans les paroisses, dans les cathédrales, dans les diocèses, dans les séminaires.

    C’est ce que nous souhaitons et c’est ce qui arrivera tôt ou tard dans les faits : que tout curé, tout évêque, tout supérieur de séminaire, tout supérieur religieux, qui sait qu’une partie de ses sujets désirent avoir accès à cet héritage, de lui-même et/ou par l’invitation d’un renforcement des dispositions du Motu Proprio, les en fassent bénéficier à un rythme qui lui paraîtra pastoralement convenable, dans son église paroissiale, dans sa cathédrale, dans la chapelle de son séminaire, dans son église religieuse, sans qu’il y ait lieu de constituer des « groupes » formels, de faire de lourdes demandes administratives, d’introduire une cascades de recours juridiques.

    Pacifiquement, normalement, de même que des fidèles de langues particulières qui ont émigré dans un pays étranger bénéficient de liturgies dans leurs idiomes respectifs, de même que des séminaristes appartenant à des communautés nouvelles peuvent de plus en plus souvent participer à des cérémonies tenant compte de leurs sensibilités, il sera ainsi extrêmement enrichissant pour la vie ecclésiale que soit établie une situation non seulement juridique, mais d’abord et avant tout pastorale et psychologique qui fera vraiment de la messe traditionnelle une messe « normale ».

     




    NOS REGLES D'ANNONCE DES CELEBRATIONS EXTRAORDINAIRES
    Nous vous indiquons ci-dessous les célébrations selon la forme extraordinaire mises en place dernièrement dans nos diocèses, les groupes de demandeurs qui se créent ou qui développent leur action, ainsi que les messes qui ont lieu dimanche prochain, mais n'ont pas lieu tous les dimanches. Pour les célébrations hebdomadaires dans toute la France, vous pouvez consulter le site http://www.paixliturgique.com.
     

    Jeudi 7 mars, Le "Rendez-vous de Paix Liturgique" sur les ondes Radio Courtoisie !
     
    Nous serons présents sur les ondes de Radio Courtoisie jeudi 7 mars dans "le Rendez-vous de Paix Liturgique" ! Retrouvez-nous dans le Libre Journal de Daniel Hamiche, 1 jeudi par mois en direct de 19h30 à 20h.

    Paix Liturgique souhaite vous rappeler que Radio Courtoisie « la radio libre du pays réel et de la francophonie » est une radio libre associative qui vit uniquement grâce aux dons de ses auditeurs et refuse toute ressource publicitaire.
    Aidez-les à demeurer libres en adhérant à leur association : une cotisation annuelle minimale de 40€ suffit... et il n'y a pas de maximum ! Mieux, un prélèvement automatique mensuel (à partir de 5€/mois) assure à la radio une meilleure visibilité financière. Notez bien que, si vous y êtes assujetis, vous pourrez déduire les 2/3 de ces sommes de votre impôt sur le revenu.


    Pour écouter Radio Courtoisie :
    Paris et Île-de-France : 95,6 MHz,
    Chartres : 104,5 MHz,
    Le Mans : 98,8 MHz,
    Le Havre : 101,1 MHz,
    Caen : 100,6 MHz,
    Cherbourg : 87,8 MHz.
    ou par satellite : Sur le bouquet satellite Canalsat (canal 179 pour la mosaïque des radios et canal 496 pour l'accès direct à Radio Courtoisie).
    ou par internet .
     
    Contact:
    Radio Courtoisie : 61 boulevard Murat - 75016 Paris
    01.46.51.00.85 - Télécopie : 01.46.51.21.82
    http://www.radiocourtoisie.net/tempo

    Allier (03) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Moulins
     
    La messe dans la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée le dimanche 3 mars à 18h à l'église du Sacré-Cœur à Moulins.

    Merci de vous unir nombreux par vos prières ou votre présence à cette célébration.
     
    Contact:
    06 86 92 60 78
    Chanoine Goupil
    http://icrsp-vichy.blogspot.com/

    Calvados (14) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Lisieux
     
    La Messe sera célébrée dans la forme extraordinaire du rite romain, le dimanche 3 mars à 9h, à la Chapelle de l'Adoration dans la Crypte de la Basilique de Lisieux.

    Merci de vous associer très nombreux par vos prières ou votre présence à cette célébration.
     
    Contact:
    lisieux-cote-normande@motuproprio.fr
    06 12 81 00 31
    Alain de Torcy

    Côte-d'Or (21) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Beaune
     
    La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée le dimanche 3 mars à 18h30 en la Chapelle de l'ancien Carmel, 14 route de Chorey à Beaune.

    Unissons-nous par notre présence ou nos prières à cette célébration.
     
    Contact:
    03 80 26 22 70
    Presbytère
    http://www.paroisse-beaune.org

    Manche (50) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Saint-Lô
     
    La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée dimanche 3 mars à 8h45 à l'église Notre-Dame à St-Lô.

    Unissons-nous par notre présence ou nos prières à cette célébration.
     
    Contact:
    06 21 12 30 07
    Bruno Rochefort

    Meuse (55) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Verdun
     
    La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée le dimanche 3 mars à 9h45 dans la crypte de la cathédrale de Verdun.

    Merci de vous unir nombreux par vos prières ou votre présence à cette célébration.

    P.S. La messe du 1er dimanche d'avril est déplacée au 25 mars.
     
    Contact:
    03 29 86 07 68
    Presbytère

    Rhône (69) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Thizy (en Beaujolais)
     
    La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée dimanche 3 mars à 10h45 à l'église paroissiale de Thizy (69240).

    Unissons-nous nombreux à cette célébration !
     
    Contact:
    06 60 72 87 19 et 04 74 89 28 53
    http://messe-extraordinaire-amplepuis-thizy.over-blog.com/

    Saône-et-Loire (71) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Chalons-sur-Saône
     
    La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée dimanche 3 mars à 10h30 à la Chapelle de la Citadelle, 15 rue Doneau à Chalons-sur-Saône.

    Unissons-nous nombreux par notre présence ou nos prières à cette célébration.
     
    Contact:
    04 77 41 79 62
    Abbé P. Comby-Vincent

    Yonne (89) - Le 3 mars, Messe dans la forme extraordinaire à Brannay
     
    La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée dimanche 3 mars à la chapelle de la Maison Notre Dame du Rosaire à Brannay à 11h45. Adresse : 10 impasse de la Chapelle, 89150 BRANNAY.

    Merci de vous associer nombreux par vos prières ou votre présence à cette célébration.
     
    Contact:
    03 86 66 17 50 ou 03 86 97 29 71
     


    Pour contacter PAIX LITURGIQUE : Tél : 00 33 6 88 23 74 52 - Notre site : www.paixliturgique.fr

    Pour adresser un don par chèque à PAIX LITURGIQUE : Établir votre chèque à l'ordre de "Paix Liturgique" et nous le faire parvenir à notre siège : 1 allée du Bois Gougenot - 78290 CROISSY-SUR-SEINE - France

    Pour effectuer un don par virement bancaire : IBAN : FR76 3000 3021 9700 0500 0158 593 - BIC/SWIFT : SOGEFRPP.

    NOUVEAU ! Vous pouvez aussi désormais faire un don sécurisé en ligne par carte bancaire. Voir SOUTENIR PAIX LITURGIQUE en page d'accueil de notre site : www.paixliturgique.fr. N'oubliez pas d'indiquer votre adresse postale pour l'envoi du reçu fiscal.
     

    Si vous souhaitez ne plus recevoir notre lettre, cliquez ici.
    Pour confirmer votre abonnement, cliquez ici.

    Nenhum comentário:

    Apoio




    _


    Immaculata mea

    In sobole Evam ad Mariam Virginem Matrem elegit Deus Filium suum. Gratia plena, optimi est a primo instanti suae conceptionis, redemptionis, ab omni originalis culpae labe praeservata ab omni peccato personali toto vita manebat.


    Cubra-me

    'A Lógica da Criação'


    Jesus, oculto na Hóstia, é tudo para mim




    “Se não fosse a Santa Comunhão, eu estaria caindo continuamente. A única coisa que me sustenta é a Santa Comunhão. Dela tiro forças, nela está o meu vigor. Tenho medo da vida, nos dias em que não recebo a Santa Comunhão. Tenho medo de mim mesma. Jesus, oculto na Hóstia, é tudo para mim. Do Sacrário tiro força, vigor, coragem e luz. Aí busco alívio nos momentos de aflição. Eu não saberia dar glória a Deus, se não tivesse a Eucaristia no meu coração.”



    (Diário de Santa Faustina, n. 1037)

    Ave-Maria

    A Paixão de Cristo