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terça-feira, 7 de maio de 2013
[121484747] lettre 386 - RENCONTRE AVEC L'ABBÉ LOURDELET : I - PORTRAIT D'UN CURÉ DE CAMPAGNE
La Lettre de Paix liturgique
Sommaire de notre lettre 386 du 7 Mai 2013
RENCONTRE AVEC L'ABBÉ LOURDELET : I - PORTRAIT D'UN CURÉ DE CAMPAGNE
Hérault (34) - Cours Notre-Dame à Montpellier
Ain (01) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Balan
Corse (20) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Ajaccio
Indre-et-Loire (37) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à l'Ile Bouchard
Isère (38) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Vienne
Jura (39) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Dole
Moselle (57) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Metz
Rhône (69) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Saint-Jean la Bussière (en Beaujolais)
Saône-et-Loire (71) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Varennes-lès-Mâcon
Essonne (91) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Saulx-les-Chartreux
Saint-Cloud (92) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Saint-Cloud
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RENCONTRE AVEC L'ABBÉ LOURDELET : I - PORTRAIT D'UN CURÉ DE CAMPAGNE
« Depuis le jour de mon ordination en 1944, j’ai toujours célébré la messe traditionnelle sans jamais avoir eu besoin d’en demander l’autorisation. »
C’est un certain archétype de curé de campagne français que nous vous proposons cette semaine. Non pas une reconstruction historique ou sociologique mais le portrait d’un prêtre en chair et en os qui fête cette année ses 69 ans de sacerdoce. Un prêtre diocésain qui, toute sa vie durant, a maintenu et défendu la tradition doctrinale, pastorale et liturgique de l’Église. Un de ces curés fidèles à « une certaine idée de l’Église », qui les habitait depuis leur séminaire ; et qui ont tout fait pour la transmettre aux nouvelles générations de prêtres.
Pour autant, et contrairement à la plupart de ses semblables demeurés fidèles au sacerdoce traditionnel, ce prêtre-ci n’a pas eu à subir les persécutions de sa hiérarchie. Il fait partie de ces prêtres qui, dans une poignée de diocèses, ont été préservés des orages post-conciliaires un peu comme – lointaine analogie, bien entendu – quelques curés non jureurs ont traversé sans dommage la Révolution. La Providence avait d'autres plans pour eux. En l'espèce, celui-ci, la Providence a voulu le garder pour qu’il se consacre entièrement au bien des âmes de ses fidèles et au soulagement de celles de ses confrères ébranlés par la crise de l’Église.
Prêtre du diocèse de Versailles, puis du diocèse de Pontoise après le redécoupage ecclésiastique de la région parisienne , curé de Belloy-en-France de 1965 à 2004, l’abbé Paul Lourdelet, puisque c'est de lui qu'il s'agit, a en effet été aussi pendant près de vingt ans le successeur du chanoine Catta à la tête de l’Opus sacerdotale avant de passer le témoin à l’abbé Julien Bacon, autre admirable figure de charité sacerdotale, d’un an plus âgé que lui et issu du diocèse d'Arras.
L’un de nos rédacteurs ayant eu la grâce de participer à la messe quotidienne de l’abbé Lourdelet en début d’année, et le plaisir de passer quelques heures en sa compagnie, nous vous proposons cette semaine la première d'une série de trois courtes lettres inspirées par le sacerdoce exemplaire de cette humble sentinelle du dépôt de la Foi. [1]
***
Né en 1921 à Versailles, Paul Lourdelet est ordonné prêtre en 1944. À l’époque, le diocèse de Versailles correspond à l’ancien département de Seine-et-Oise et couvre tout le sud, l’ouest et le nord de Paris. « Ma première nomination, raconte-t-il, a été vicaire à Goussainville, aujourd’hui paroisse du diocèse de Pontoise. J’y suis resté jusqu’en 1949, aux côtés d’un excellent curé qui m’a aidé à corriger ma timidité. En effet, il m’a appris, ou plutôt m’a obligé, à prêcher sans papier. C’est à lui que je dois d’avoir pu prêcher au cours de mon sacerdoce plus de cinquante retraites pour enfants sans aucun texte sous les yeux. »
« En avril 1949, je suis nommé curé de Fontenay-en-Parisis, village voisin de Goussainville. À part l’église, il n’y a aucune ossature paroissiale. Heureusement, comme nous l’enseigne la collecte du septième dimanche après la Pentecôte, la Providence de Dieu, « infaillible en ce qu’elle dispose », veille. Elle a de fait guidé toute ma vie. Une maison de jardinier inoccupée devient le prieuré et une de mes sœurs me rejoint pour me servir de gouvernante. »
« En 1954, l’évêque me donne un vicaire et étend ma charge à quatre autres paroisses. À partir de cette époque et jusqu’en 1992, j’ai célébré trois messes par dimanche. Deux ans plus tard, à la suite de problèmes de santé, je suis envoyé à Richebourg, village de 450 âmes situé tout à l’ouest du diocèse, près de Houdan. J’y resterai jusqu’en 1961. Richebourg, c’est alors le village de Thorez, de Piaf, mais aussi de la famille Pompidou que j’ai comptée parmi mes fidèles. »
« En 1961, je pars suivre les grands exercices de saint Ignace (un mois) et trouve en rentrant un courrier de l’évêque me nommant curé de Quincy-sous-Sénart. S’ouvrent alors quatre années de pénitence : si le prieuré est en mauvais état, la salle paroissiale est flambant neuve. Mais c’est en fait bien plus une salle de gym qu’une salle paroissiale : aucun catéchisme n’y est dispensé et la gymnastique semble l’activité principale laissée en héritage par mon prédécesseur. Il y a même gym à l’heure de la messe... Et 23 annéesde registres paroissiaux non tenus ! »
C’est pendant ces années à Quincy-sous-Sénart que l’abbé Lourdelet se retrouvera – providentiellement bien entendu ! – associé à la naissance de l’Opus sacerdotale [sur laquelle nous reviendrons la semaine prochaine]. À compter du 4 août 1964, il devient le secrétaire du chanoine Catta. « Un secrétaire bien particulier, explique-t-il avec amusement, puisque je n’avais ni téléphone, ni machine à écrire, ni voiture. »
« En mai 1965, les projets de ville nouvelle qui annoncent une explosion démographique et urbanistique du secteur m’incitent à manifester à mon évêque, Mgr Renard, mon attachement à un sacerdoce en milieu rural. C’est ainsi que je vais me retrouver quasiment à mon point de départ, de nouveau au nord de Paris, à Belloy-en-France, qui deviendra ma paroisse jusqu’en 2004. »
Quand l’abbé Lourdelet gagne Belloy, le diocèse de Pontoise n’est pas encore officialisé mais il est déjà écrit que Belloy en fera partie. Cette appartenance, dès 1966, à un diocèse en construction, conjuguée au fait que ce coin d’Île-de-France échappera à l’urbanisation dévorante de l’agglomération parisienne, va préserver l’abbé Lourdelet du tsunami conciliaire.
Au cours de ses 39 années passées à Belloy, l’abbé va poursuivre un apostolat des plus traditionnels, fondé sur la messe, les sacrements et la catéchèse. De fait, tout au long de ces années marquées par la sécularisation galopante de la société, la paroisse attirera de plus en plus de personnes ayant abandonné toute pratique religieuse pendant 10, 15 ou 20 ans mais retrouvant auprès de l’abbé Lourdelet le désir de sanctifier le jour du Seigneur. « Vous savez, des familles n’hésitaient pas à venir tous les dimanches de Beauvais, distante de plus de 50 km de Belloy », souligne-t-il avec cette pointe d’incrédulité qu’ont les personnes âgées en évoquant certains souvenirs chers à leur mémoire.
En 2004, à l’âge de 83 ans, soit au bout de 60 ans de sacerdoce, l’abbé Lourdelet prend sa retraite diocésaine non sans avoir assuré à ses paroissiens, avec l’intelligente connivence de l’évêque de l’époque, Mgr Riocreux, la continuité doctrinale et liturgique de la paroisse, confiée à l’abbé François Scrive. Cette retraite conduit l’abbé Lourdelet hors du Bassin parisien, dans une chapelle nichée au cœur d’une forêt angevine. « C’était parfait pour une vie d’ermite, d’autant plus que l’évêque avait commencé par m’interdire d’y célébrer le saint sacrement ! »
L’abbé Lourdelet n’attendra pas la levée, heureusement rapide, de cette interdiction – qui serait risible si elle n’était pas scandaleuse en ces temps de désert cultuel des campagnes – pour ouvrir les portes de la chapelle aux fidèles des environs. Peu à peu, le bouche à oreille fera affluer les familles de toute la région et, certains dimanches, l’abbé devra même biner [2]. Comme si cela ne suffisait pas à occuper sa retraite, l’abbé continue volontiers à prêcher retraites et recollections, en particulier à la demande de l’abbé Pozzetto, directeur des Œuvres des retraites de la Fraternité Saint-Pierre.
En 2011, année de ses 90 ans, l’abbé Lourdelet cesse enfin tout apostolat pour revenir à Versailles comme pensionnaire d’une maison religieuse. Grâce à un autel aménagé dans le bureau attenant à sa chambre, il peut continuer d’y célébrer sa messe quotidienne et, outre la prière, consacre son temps à une correspondance nourrie et à la mise en ordre de ses souvenirs. Là encore, initialement, Mgr Aumonier lui avait interdit de recevoir des fidèles pour sa messe – une manie épiscopale décidément ! Depuis quelques mois, l’évêque lui a cependant signifié qu’il pouvait accepter quelques proches et, de fait, l’abbé accueille tous les jours quelqu’un désireux d’entendre sa messe, ce qui a été notre cas début février.
La semaine prochaine, nous publierons la seconde partie de ce document, nous y évoquerons, toujours à travers le témoignage de l'abbé Lourdelet, la naissance, l'histoire et l'action de l'Opus sacerdotale.
[1] La vie sacerdotale de l’abbé Lourdelet est très riche et il se peut que tel ou tel détail que nous rapportons mérite correction ou précision : nous publierons volontiers les commentaires et témoignages que nous recevrons.
[2] Biner : dire deux messes, ce que le droit canon autorise, en raison de la pénurie de prêtres. On peut même « triner » le dimanche.
« J’ai combattu le bon combat » (2 Timothée 4, 7) : l’abbé Lourdelet devant l’autel privé où il célèbre sa messe quotidienne.
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NOS REGLES D'ANNONCE DES CELEBRATIONS EXTRAORDINAIRES
Nous vous indiquons ci-dessous les célébrations selon la forme extraordinaire mises en place dernièrement dans nos diocèses, les groupes de demandeurs qui se créent ou qui développent leur action, ainsi que les messes qui ont lieu dimanche prochain, mais n'ont pas lieu tous les dimanches. Pour les célébrations hebdomadaires dans toute la France, vous pouvez consulter le site http://www.paixliturgique.com.
Hérault (34) - Cours Notre-Dame à Montpellier
Le Cours Notre Dame est une école indépendante située au cœur de Montpellier. Fondé en 1990, il est dirigé depuis 11 ans par des chanoines de l’Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre. L’école accueille aujourd’hui une centaine d’élèves de la maternelle à la 3ème.
Trois aspects essentiels et liés visent à l’épanouissement des élèves :
. La vie de l’âme : avec, au centre, la messe (célébrée selon la forme extraordinaire du rite romain), les enfants auront à cœur d’acquérir une connaissance claire et raisonnée de la foi qui les aidera à développer leur vie intérieure et à réfléchir sur leur vocation propre.
. La vie de l’intelligence : les connaissances seront toujours fondées sur le réel, elles ne sont pas un but mais un moyen qui les aidera à former leur jugement et leur raisonnement.
. La vie morale : dans un climat sain, honnête et joyeux, l’enfant prendra des responsabilités et verra qu’il peut les assumer.
Contact:
Cours Notre Dame 334 rue du Pioch de Boutonnet 34090 MONTPELLIER
09 51 34 26 76
coursnotredame.fr
Ain (01) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Balan
La messe dans la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée le dimanche 12 mai à 11h à l'église Saint-Jean-Baptiste de Balan, à 25 km au nord-est de Lyon.
Unissons-nous nombreux par notre présence ou nos prières à cette célébration.
Contact:
04 78 06 11 60
Corse (20) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Ajaccio
La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée dimanche 12 mai à 11h à l'église Saint-Érasme, rue Forcioli Conti à Ajaccio.
Unissons-nous nombreux par notre présence ou nos prières à cette célébration.
Contact:
missa.2a@orange.fr
06 60 13 84 41
Indre-et-Loire (37) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à l'Ile Bouchard
La messe dans la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée le dimanche 12 mai à 9h30 à l'église Saint-Maurice de l'Ile Bouchard.
Unissons-nous nombreux par notre présence ou nos prières à cette célébration !
Contact:
02 47 58 51 03
Secrétariat paroissial
Isère (38) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Vienne
La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée le dimanche 12 mai à 18h en l'église Notre-Dame de l'Isle à Vienne.
Unissons-nous par notre présence ou nos prières à cette célébration.
Contact:
04 76 44 03 55
Jura (39) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Dole
La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée le dimanche 12 mai à 10h dans l'église du quartier d'Azans à Dole.
Unissons-nous y nombreux par notre présence ou nos prières et prions pour que cette célébration mensuelle devienne régulière !
Contact:
fsspdole@free.fr
03 84 72 56 26
M. Pascal Mermoz
http://fsspdole@free.fr
Moselle (57) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Metz
La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée le dimanche 12 mai à 11h à l'église Saint-Bernard, 1, rue Monseigneur Pelt à Metz (quartier Plantières).
Unissons-nous nombreux par notre présence ou nos prières à cette célébration.
Contact:
A-FREULET@richard-scp.avocat.fr
Rhône (69) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Saint-Jean la Bussière (en Beaujolais)
La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée dimanche 12 mai à 10h45 à l'église paroissiale de Saint-Jean-la Bussière (69550).
Unissons-nous nombreux à cette célébration !
Contact:
06 60 72 87 19 et 04 74 89 28 53
http://messe-extraordinaire-amplepuis-thizy.over-blog.com/
Saône-et-Loire (71) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Varennes-lès-Mâcon
La messe sera célébrée dans la forme extraordinaire du rite romain, le dimanche 12 mai, à 10h30, dans l'église paroissiale Saint-Marcel de Varennes-lès-Mâcon (à 7 km au sud de Mâcon).
Merci de vous unir par votre présence ou vos prières à cette célébration.
Contact:
03 85 37 71 26
Essonne (91) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Saulx-les-Chartreux
La messe selon la forme extraordinaire du rite romain sera célébrée dimanche 12 mai à 10h30, à l'église de l'Assomption de la Très Sainte Vierge, rue de l'Eglise à Saulx-les-Chartreux (91).
Unissons-nous nombreux par notre présence ou nos prières à cette célébration.
Contact:
01 64 78 94 01
Presbytère
Saint-Cloud (92) - Le 12 mai, Messe dans la forme extraordinaire à Saint-Cloud
Le dimanche 12 mai 2013, avec la participation de la ville de Saint-Cloud, 100 ans après la pose de la première pierre de Notre-Dame des Airs le 18 mai 1912, une fête commémorative initiée par le Père Hénaff, curé de Saint-Cloud, et présidée par Monseigneur Daucourt, évêque de Nanterre, aura comme programme :
9h30 : Messe selon la forme extraordinaire. Sermon de Mgr Daucourt.
11h00 : Procession dans les rues de Saint-Cloud.
11h30 : Messe selon la forme ordinaire.
Dès la fin de la procession : Apéritif / Pique nique...
15h00 : Projection d'un film retraçant l'histoire de l'Eglise.
Rappel : L'église est à 200m de la gare SNCF "Val d'Or", et 5 minutes à pied de la station du tramway T2 station "Les coteaux".
Venez nombreux ou unissez-vous par la prière à cette messe présidée par Monseigneur Daucourt !
Contact:
contact@paix-liturgique.org
Pour contacter PAIX LITURGIQUE : Tél : 00 33 6 88 23 74 52 - Notre site : www.paixliturgique.fr
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In sobole Evam ad Mariam Virginem Matrem elegit Deus Filium suum. Gratia plena, optimi est a primo instanti suae conceptionis, redemptionis, ab omni originalis culpae labe praeservata ab omni peccato personali toto vita manebat.
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“Se não fosse a Santa Comunhão, eu estaria caindo continuamente. A única coisa que me sustenta é a Santa Comunhão. Dela tiro forças, nela está o meu vigor. Tenho medo da vida, nos dias em que não recebo a Santa Comunhão. Tenho medo de mim mesma. Jesus, oculto na Hóstia, é tudo para mim. Do Sacrário tiro força, vigor, coragem e luz. Aí busco alívio nos momentos de aflição. Eu não saberia dar glória a Deus, se não tivesse a Eucaristia no meu coração.”
(Diário de Santa Faustina, n. 1037)
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